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Publié le 14/12/2022

Repas de fêtes: face à l’inflation, soyons inventifs ! / William A Midi

Le repas de Noel face à l’inflation

Un repas de fête en 2021 coûtait 117 euros en moyenne. En 2022, il coûte 130 euros.
Noel est une période festive, familiale et chaleureuse mais particulièrement stressante, cette année. Face à 10 % et 12 % d’inflation, les Français sont particulièrement attentifs à leurs dépenses et à leurs budgets cette année. Le repas de Noel face à l’inflation

Picard crée 25 % de ses ventes annuelles entre début décembre et début janvier. 

Cependant, il s’agit d’une période stratégique pour les commerçants. Ils en profitent pour effectuer leurs plus grandes parts de leurs chiffres d’affaires annuels. En effet, 34 % des ventes annuels du chocolat et de foie gras se font en période de Noël. 22 % des ventes annuelles du champagne se font aussi en période de Noël. C’est le même cas pour les grandes enseignes de distribution. Par exemple, Picard crée 25 % de ses ventes annuelles entre début décembre et début janvier. 

Cette année, les ventes de truites fumées a dépassé celle du saumon fumé.

Le prix des produits stars de Noel a beaucoup augmenté cette année. Ainsi, un artisan de saumon fumé s’est vu vendre plus de truite que de saumon. En effet, le kilo de truite fumée coûte 14 euros de moins que le saumon fumé. Les consommateurs ont vite fait le choix. 

L’augmentation du prix du saumon s’explique par le Brexit, l’inflation, la hausse de sa demande par rapport à son offre et la hausse du coût de la congélation et sa conservation. C’est pour cela que son prix a augmenté de 10 % par rapport à l’année dernière.

 En outre, le prix du foie gras a aussi grimpé de 10 euros par rapport à l’année dernière, suite à l’apogée de la grippe aviaire. Pareil pour le champagne, qui a vu une hausse de prix du verre et des bouchons. De même, la volaille se vend plus cher que l’année précédente à cause de la hausse du prix des céréales. le budget du repas de Noel face à l’inflation


Pas de panique : certains produits alimentaires de substitution sont de moins en moins chers.

La viande de porc se vend de moins en moins chère depuis la baisse du prix du marché breton de 24 %. De même pour les apéritifs anisés et les chocolats individuels. Ainsi, les consommateurs peuvent profiter de la baisse du prix de ces produits afin de garder une table de Noel bien garnie, profiter de leur famille sans trop dépenser. 

Comment faire pour adapter son budget à ces hausses de prix, parfois, excessives ? 

Il est toujours possible de profiter des fêtes sans dépasser son budget. Pour cela, il faut profiter de la concurrence entre les grandes distributions et en visiter plusieurs afin de trouver le meilleur prix pour chaque catégorie de produit. Il est aussi important d’analyser les promotions et de maximiser leur utilisation. Cela permet d’économiser quelques centimes ou quelques euros sur chaque produit. Ainsi, on peut économiser jusqu’à 300 euros par an. Enfin, il est essentiel d’adapter les quantités à son budget, minimiser le gaspillage et miser sur les amuse-bouche. Le repas de Noel face à l’inflation

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Un repas de fête en 2021 coûtait 117 euros en moyenne. En 2022, il coûte 130 euros.

Noel est une période festive, familiale et chaleureuse mais particulièrement stressante, cette année. Face à 10% et 12% d’inflation, les Français sont particulièrement attentifs à leurs dépenses et à leurs budgets cette année.

Picard crée 25% de ses ventes annuelles entre début décembre et début janvier. 

Cependant, il s’agit d’une période stratégique pour les commerçants. Ils en profitent pour effectuer leurs plus grandes parts de leurs chiffres d’affaires annuels. En effet, 34% des ventes annuels du chocolat et de foie gras se font en période de Noël. 22% des ventes annuelles du champagne se font aussi en période de Noël. 


C’est le même cas pour les grandes enseignes de distribution. Par exemple, Picard crée 25% de ses ventes annuelles entre début décembre et début janvier. 

Cette année, les ventes de truites fumées a dépassé celle du saumon fumé.

Le prix des produits stars de Noel a beaucoup augmenté cette année. Ainsi, un artisan de saumon fumé s’est vu vendre plus de truite que de saumon. En effet, le kilo de truite fumée coûte 14 euros de moins que le saumon fumé. 


Les consommateurs ont vite fait le choix.
 L’augmentation du prix du saumon s’explique par le Brexit, l’inflation, la hausse de sa demande par rapport à son offre et la hausse du coût de la congélation et sa conservation. C’est pour cela que son prix a augmenté de 10% par rapport à l’année dernière. 


En outre, le prix du foie gras a aussi grimpé de 10 euros par rapport à l’année dernière, suite à l’apogée de la grippe aviaire. Pareil pour le champagne, qui a vu une hausse de prix du verre et des bouchons. De même, la volaille se vend plus cher que l’année précédente à cause de la hausse du prix des céréales. 

Pas de panique : certains produits alimentaires de substitution sont de moins en moins chers.

La viande de porc se vend de moins en moins chère depuis la baisse du prix du marché breton de 24%. De même pour les apéritifs anisés et les chocolats individuels. Ainsi, les consommateurs peuvent profiter de la baisse du prix de ces produits afin de garder une table de Noel bien garnie, profiter de leur famille sans trop dépenser. 

Comment faire pour adapter son budget à ces hausses de prix, parfois, excessives ? 

Il est toujours possible de profiter des fêtes sans dépasser son budget. Il faut profiter de la concurrence entre les grandes distributions et en visiter plusieurs afin de trouver le meilleur prix pour chaque catégorie de produit. Il est aussi important d’analyser les promotions et de maximiser leur utilisation. Cela permet d’économiser quelques centimes ou quelques euros sur chaque produit. 


Ainsi, on peut économiser jusqu’à 300 euros par an. Enfin, il est essentiel d’adapter les quantités à son budget, minimiser le gaspillage et miser sur les amuse-bouche. 

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