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Publié le 04/03/2023

Supermarchés : des prix qui font le grand écart / BFM TV

De plus en plus de foyers en difficultés. Les restaurants du cœur ont lancé une grande campagne ce weekend dans les hyper et supermarchés.

Les restos du cœur ont enregistré 22% bénéficiaire en plus en seulement 3 mois.

Les banques alimentaires accompagnent 2,4M de personnes, 200 000 personnes en plus qu’en début 2022 avec le poids de l’inflation et cherté des prix dans les supermarchés.

Quels profils, nouveaux visages

94% des personnes vivent sous le seuil de pauvreté

Nous retrouvons des actifs gagnant moins de 1070 euros par mois, des inactifs (étudiant, retraité) qui touchent 850 euros soit moins que le minimum vieillesse.

60% d’actifs ont un CDI dont un contrat à temps partiel. Cette statistique montre que le CDI ne protège pas dans le cas de CDI à temps partiel.

60% des personnes sont en périurbain ou en milieu rural.


Ces personnes ont besoin de produits chers : viande, fruits et légume, protéine qui ont un coût élevé en supermarchés.

Couche budget explosé 20 à 30 %

Dans le panier des courses hebdomadaire il y a des produits impliquants : viande, volaille, hygiène beauté, lessive

Aujourd’hui le fin du mois arrive de plus en plus tôt vers le 20 car les tensions sont importantes.

La part du budget alimentaire dans les foyers français est de 15% en moyenne.  
Quand vous avez un niveau de vie élevé, la part compris entre 5 et 10%. En revanche dans certains foyers cette part peut arriver à 20, 25, ou 30%.

Très vite les augmentations sur budget alimentaire qui est utilisé à fréquence élevé.

De plus les pix vont augmenter dans les prochaines semaines de manière progressive.

L’ensemble des Français est dans une dynamique d’arbitrage :

Sur le type produit : on descend de gamme dans les supermarchés : passe d’une marque nationale à une marque distributeur moins onéreuse.

Sur la qualité des produits :  les plats transformés seront moins chers mais plus nocifs pour la santé : le beurre est remplacé par la margarine.  
Il y a un véritable enjeu de qualité et santé alimentaire.

Impacte de l’inflation en juin 2022 :
 95% des familles avec enfant vont déjà vers des produits premier prix. Cela pose la question du choix et de la qualité pour ces familles. Majorité des personnes qui se rendent en banque alimentaire sont touchées par obésité, maladies cardiovasculaires, diabète. Ce sont des maladies liées à la précarité alimentaire.

Il faut donc répondre avec une aide alimentaire diversifiée et équilibrée.

Dans un hypermarché vous retrouvez entre 30 000 et 50 000 références.

Décrété des produits

Le prix des produits résulte de l’ensemble de toute une filière.

Vous achetez l’emballage, la fabrication, le transport
Il faut s’intéresser aux couches entre les producteurs et les consommateurs.

La France est l’un des pays au monde avec le plus de states dans l’alimentaire.

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De plus en plus de foyers en difficultés.

Les restaurants du cœur ont lancé une grande campagne ce weekend dans les hyper et supermarchés.

Les restos du cœur ont enregistré 22% bénéficiaire en plus en seulement 3 mois.

Les banques alimentaires accompagnent 2,4 million de personnes dont 200 000 personnes en plus qu’en début 2022 avec le poids de l’inflation et cherté des prix dans les supermarchés. Quels profils dresser?

  • 94% des personnes vivent sous le seuil de pauvreté

Nous retrouvons des actifs gagnant moins de 1070 euros par mois, des inactifs (étudiant, retraité) qui touchent 850 euros soit moins que le minimum vieillesse.

  • 60% d’actifs ont un CDI dont un contrat à temps partiel. Cette statistique montre que le CDI ne protège pas dans le cas de CDI à temps partiel.
  • 60% des personnes sont en périurbain ou en milieu rural.

Ces personnes ont besoin de produits chers : viande, fruits et légume, protéine qui ont un coût élevé en supermarchés.Dans le panier des courses hebdomadaire il y a des produits impliquants : viande, volaille, hygiène beauté, lessive

Aujourd’hui le fin du mois arrive de plus en plus tôt vers le 20 car les tensions sont importantes.

 

 

La part du budget alimentaire dans les foyers français est de 15% en moyenne.  Cependant quand vous avez un niveau de vie élevé, la part compris entre 5 et 10%. En revanche dans certains foyers cette part peut arriver à 20, 25, ou 30%.

De plus les prix vont augmenter dans les prochaines semaines de manière progressive.

L’ensemble des Français est dans une dynamique d’arbitrage :

  • Sur le type produit : on descend de gamme dans les supermarchés : passe d’une marque nationale à une marque distributeur moins onéreuse.
  • Sur la qualité des produits :  les plats transformés seront moins chers mais plus nocifs pour la santé : le beurre est remplacé par la margarine.

Il y a un véritable enjeu de qualité et santé alimentaire.

 95% des familles avec enfant vont déjà vers des produits premier prix.

Cela pose la question du choix et de la qualité pour ces familles. Majorité des personnes qui se rendent en banque alimentaire sont touchées par différentes maladies :obésité, maladies cardiovasculaires, diabète. Ce sont des maladies liées à la précarité alimentaire. Il faut donc répondre avec une aide alimentaire diversifiée et équilibrée.

 

Dans un hypermarché vous retrouvez entre 30 000 et 50 000 références.

 

 

Le prix des produits résulte de l’ensemble de toute une filière. Vous bien plus que le produit fini : l’emballage, la fabrication, le transport. Il faut s’intéresser aux couches entre les producteurs et les consommateurs. La France est l’un des pays au monde avec le plus de strates dans l’alimentaire.

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